Jusqu'a 1799 !
Canon forgé et soudé , plus rarement enroulé façon Damas .
ensuite rectifié avec un alésoir , ensuite rayé sur un banc
a rayer le cas échéant.
"Enculassé " avec le " taraud du Roy "
sur un étau spécial a cette fin .
Le tournage sur métal étant encore dans l'enfance ,
on finissait l'extérieur sur de grosses meules a eau ( diam
deux mètres ... au départ )
Il y avait une " machine a canneler les canons "
un gabarit posé sur une meule plus petite , pour faire les
pans de tonnerre , caractéristique de l'armurerie française.
Ces pans facilitent la mise en bois et l'ajustement de la platine.
Il y a de jolies planches dans l'encyclopédie Diderot & D'Alembert
si quelqu'un pouvait en trouver l'accès .
Lumière percé a la " drille "
http://www.zimmermann-quebec.com/presentation.html Platines forgées pour être ajustées et assemblées par des
armuriers/platiniers travaillant " en chambre " a leur domicile.
Le bois taillé a la main , jusqu'a l'invention du tour pantographe
le même qui permit la fabrication des formes de souliers
différentes pour le pied gauche et le droit.
Gravures sur les armes de luxe .