La haine !!! hier au soir apres un long moment a faire mon post, ben vi je
m'y met pas souvent mais a l'occasion je me rattrappe
,
envoi et : delai de la page expire!!!
Tout au tapis
Pour le choix du moule: plutot le .584 de cette serie et travailler ensuite au recalibreur
qui est une etape indispensable. J’attends le mien avant de recommencer au Minie
parce que la je suis sur de gaspiller complet sans. J’ai souvent un passage dur
de 3/4 cm au dessus de la charge du a une fuite de gaz ce que mes balles pas trop
rondes car brutes de moule doivent bien entretenir.
Heureusement ma Sharp m’aide beaucoup a patienter
Ce qui m’amene a t’avoir dit ca:
Apres pas mal de tatonements avec mon 1853 Euroarm j’avais fini avec des balles
Lee .578-475 « papier chemisee » qui passait juste sur les rayures et grace a ca
j’ai commence a voir le jour au bout du tunnel. Par la meme occasion j’avais trouve
le calibre du fusil: .582, pas evident avec 3 rayures !!!
Aujourd’hui ce fusil a ete vendu pour etre remplace par le meme en Parker Hale
dont Beck avait recu ses premier modeles en juin dernier, pas pu resister.
Lui est soigne avec des Lee .575-500 chemisees elles aussi qui tombent juste sur
les rayures.
Pour le Euroarm un ancien aujourd’hui parti sur un autre forum m’avait fait essayer
des balles RCBS 58-500 a jupe modifiee recalibrees a .580 qu’il utilisait dans un Springfield
Armisport peut etre la solution pour toi si Armisport fonctionne comme Euroarm: un
seul type de « tube » pour un meme calibre quel que soit le modele.
Autre chose qui est au moins aussi important que le calibre adapte: la graisse.
Celle que j’utilise: 70% vegetaline, 20% cire d’abeille, 10% huile d’olive
Trois exemples:
1°): a l’automne dernier un jour gris avec gel toute la journee. Sur une serie de 10,
3 balles consecutives dans un cercle de 3cm qui etaient descendues sans aucun point
dur jusqu'à la charge donc avec une bonne obturation et ramollissement a point des
residus. La seule chose changee de l’habitude:la consistance de la graisse.
2°): quelques mois plus tard, essai sur une series avec uniquement huile d’olive et une
autre huile de pied de bœuf(truc lu dans The Paper Jacket de Paul Matthews).
La pied de bœuf est plus visqueuse que l’olive et n’impregne pas le papier du patch.
Resultats: olive tout en haut a gauche donc rayures outrepassees, ou parties a la
peche
; , et residus durs alors que pied de bœuf balles dans l’axe haut visuel
un peu arrose et residus mous, un plaisir de descendre les balles !!!
3°): pour nettoyer entre les coups mon Volunteer je passe un chiffon imbibe d’huile
d’olive et siege la balle suivante. Une idee au milieu de mon dernier tir: passer un
chiffon sec avant de mettre la balle. Resultat avant sechage il y en avait pour tout le
visuel et ensuite tout en 7 a 11 h, sur 4 balles quand meme.
Conclusion sur le graissage:
Un bon detergent(olive) n’est pas forcement un bon « graissant »(pied de boeuf )
Il ne faut pas grand-chose pour mettre le bazar: viscosite olive/p. de b. ou fine pellicule
dans le canon.
En tous cas ca laisse de quoi « decouvrir » devant !!!!
Voila ou en est le Minie par chez moi: passionnant mais sauvage le bestiau,
et en plus avec un fusil aussi beau que l'Enfield !!!! non, non je suis pas partial